Ras-le-bol de tous ces ragots qu’on raconte d’ici et là au sujet d’un éventuel problème de couple avec son épouse, Charlene de Monaco, le prince a remis la pendule à l’heure. « Elle n’est pas partie puisqu’elle était en colère contre moi », Albert de Monaco pousse un coup de gueule contre les fauteurs de troubles. Les détails avec la rédaction de Phpa.
Partie en Afrique du Sud depuis près de six mois, de nombreuses rumeurs font vent d’une séparation entre Charlene de Monaco et le souverain. Dans une entrevue, ce dernier, reconnaissant sa vulnérabilité face à cet acharnement des médias sur sa vie de couple, a dû faire une petite mise au point. « Elle n’est pas partie puisqu’elle était en colère contre moi », Albert de Monaco pousse un coup de gueule contre les fauteurs de troubles.
« Ce n’était pas censé être qu’un séjour d’une semaine, 10 jours maximum« .
En effet, la Première dame du Rocher est bloquée en Afrique du Sud suite à ses multiples opérations. Une information officielle confirmée par son mari lors de cet entretien. « Elle n’est pas partie parce qu’elle était en colère contre moi ou contre quelqu’un d’autre », a-t-il fait bien mention au tout début de sa prise de parole.
« Elle se rendait en Afrique du Sud pour réévaluer le travail de sa Fondation là-bas et prendre un peu de temps avec son frère et quelques amis », expliquait-il par la suite. « Ce n’était pas censé être qu’un séjour d’une semaine, 10 jours maximum, et parce qu’elle a eu cette infection, toutes ces complications médicales sont survenues », regrettait le prince.
« Si vous essayez de répondre à tout ce qui sort constamment, vous perdez votre temps« .
Par contre, « elle ne s’est pas exilée, précisait le monarque monégasque. C’était uniquement un problème médical qu’il fallait soigner », ajoutait-il. « Mais je me concentrais sur le fait de m’occuper des enfants ». « Et je pensais que ça s’en irait probablement. Vous savez, si vous essayez de répondre à tout ce qui sort [il faut le faire] constamment et vous perdez votre temps », reconnaissait-il. « Nous sommes une cible facile, facilement touchée, car nous sommes beaucoup dans les yeux du public », a-t-il conclu.