Dans l’un des derniers numéros d’Affaire conclue, Sophie Davant a posé une question à laquelle ne s’attendait guère sa collègue. Sur la Toile, les téléspectateurs n’ont pas hésité à exprimer leur mécontentement…
Mercredi dernier, dans Affaire conclue, Enora Alix était chargée d’évaluer un objet datant des années 30. Il s’agit d’un magnifique Bibendum Michelin en fonte apportée par le participant du jour. Tandis qu’elle réalise son expertise, elle est interpellée par une question de Sophie Davant qui l’a complètement abasourdie.
Enora Alix en admiration devant un objet
Dans Affaire conclue, certains candidats se ramènent avec de vieux objets très prisés par les antiquaires. Franck (53 ans) a fait le déplacement depuis Villardonnel dans l’Aude, pour vendre un joli objet publicitaire. À savoir un Bibendum Michelin en fonte dont l’origine remonte dans les années 30. Bien que l’article en question ait perdu de ses couleurs authentiques, le propriétaire n’allait pas avoir de difficultés à trouver un acheteur. Selon les explications d’Enora Alix, ce type d’objet ne fait jamais un bide en salle des enchères.
« Ce personnage, il est vraiment novateur. Il a été fabriqué en 1898, ça reprend une pile de pneus à laquelle on aurait intégré des bras », souligne la commissaire-priseuse. Elle enchaîne les précisions en affirmant : « Dans les années 30, où la communication prend une importance singulière, il va être repris. Mais honnêtement, je trouve qu’il est toujours à la mode. Une production très futuriste en matière de volumes, de styles et termes de marketing ».
Sophie Davant devient la risée…
C’est alors que Sophie Davant interrompt sa collègue en lui demandant : « C’est une publicité pour quelle société ? ». Désarçonnée, Enora Alix pensait que c’était une évidence. « Eh ben c’est pour Michelin ! », a-t-elle répliqué, ne s’attendant pas à une telle question. La présentatrice aurait pu s’en douter sachant que la marque était inscrite sur l’écharpe du personnage. « Ben oui, mais vous ne l’avez pas dit ! » s’exclama la jolie blonde pour sa défense. L’objet, évalué à 100 euros, a finalement été cédé pour 350 euros par Laurent Journo.
Cette bêtise de Sophie Davant a néanmoins suscité de vives réactions sur les réseaux sociaux. « Elle demande pour quelle marque le Bibendum fait de la pub » ou encore « Sophie Davant n’écoute rien », pouvait-on lire dans les commentaires. La vérité c’est que l’experte n’a effectivement pas mentionné le nom de la marque. L’acolyte de Caroline Margeridon n’a donc fait que son travail en exigeant plus de précision. À bon entendeur, salut…