Selon de nombreux magazines people, Albert II et Charlene de Monaco se retrouveraient en instance de divorce. Découvrez comment le prince a réagi lorsqu’on a demandé d’apporter plus de précision à ce sujet…
Ces derniers mois, Albert II et Charlene de Monaco se retrouvent au cœur de toutes les actualités. Depuis le départ de la première dame du Rocher pour l’Afrique du Sud, de nombreuses rumeurs faisant état d’un grave problème de couple défraient la chronique. La dernière en date est ce divorce. Une situation obligeant le papa de Jacques et Gabriella Grimaldi de s’expliquer sur la place publique.
Charlene de Monaco en exil ?
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Officiellement, Charlene de Monaco est bloquée dans les Terres de ses ancêtres pour des raisons sanitaires. En voyage officiel pour secourir des animaux en détresse, la princesse a été frappée par une terrible infection, la conduisant, à plusieurs reprises, sur la table d’opération. Jusqu’à présent, elle se retrouve dans l’incapacité de prendre un vol pour retourner auprès de son mari et de leurs jumeaux.
Mais pour certaines sources, la princesse aurait fuit le Palais suite à des graves problèmes de couple. D’autres estiment même que Charlene ne compterait pas recoller le morceau avec Albert.
« Nous sommes une cible facile, facilement touchée, car nous sommes sous les yeux du public ».
Interrogé sur la véritable raison de cette longue absence de sa femme, le prince Albert a décidé de rétablir les faits.
“Elle n’a pas décidé de s’exiler. Il s’agit purement d’un problème médical qu’il a fallu soigner. Elle n’est pas partie parce qu’elle était en colère contre moi ou contre quelqu’un d’autre », confessait le souverain dans les colonnes du magazine People.
« Elle se rendait en Afrique du Sud pour évaluer le travail de sa Fondation là-bas et prendre un peu de temps avec son frère et quelques amis. Ce n’était censé être qu’un séjour d’une semaine, 10 jours maximum, et elle y est toujours parce qu’elle avait cette infection, toutes ces complications médicales sont survenues”.
“Bien sûr que cela l’affecte, bien sûr que cela m’affecte. Une mauvaise lecture des événements est toujours préjudiciable. Nous sommes une cible facile, facilement touchée, car nous sommes sous les yeux du public.” .