Face à la situation sanitaire qui est devenue de plus en plus compliquée, Michel Cymes n’a pas pu s’empêcher de crier son désespoir. À l’occasion de son passage sur le plateau de Quotidien, le célèbre médecin français a partagé son avis.
Michel Cymes s’est récemment livré au sujet de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Coronavirus. Il a évoqué son opinion concernant tout particulièrement l’interruption d’AstraZeneca devant Yann Barthes et son équipe sur TMC.
Michel Cymes vide son sac sur TMC
Comme la majorité des Français, Michel Cymes subit de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Le médecin a été convié sur le plateau de « Quotidien » mardi dernier. L’occasion pour le chirurgien d’évoquer sa désolation face à la décision du gouvernement d’interrompre le vaccin AstraZeneca en France. Déçu, le compagnon de Nathalie n’a pas manqué de clamer haut et fort ses ressentis.
Au cours de sa prise de parole, il a ainsi expliqué : « Dès qu’on aperçoit une lueur d’espoir, il y a quelque chose qui nous tombe dessus. Soit il y a un variant breton, soit il y a le vaccin qui est remis en question. C’est compliqué ». Et de poursuivre : « La France et le chef d’État ne pouvaient pas faire autrement que d’interrompre cette vaccination, pendant que tous les pays autour de nous… »
« Doit-on établir un rapport entre le vaccin et les infarctus ? »
Michel Cymes enchaîne en soulignant : « À partir du moment où l’Allemagne le faisait, c’était difficile de ne pas suivre leur pas ». Il faut dire que de multiples effets secondaires ont été constatés dans les quatre coins du globe à la suite de l’injection du vaccin. À ce propos, le physicien de 63 ans précise : « On a environ 120 000 victimes d’attaque cardiaque chaque année en France. Ça fait 14 heures. Vu qu’il va y avoir plusieurs milliers de vaccinés, forcément, parmi les 14 infarctus par heure, il va y en avoir qui ont été vaccinés dans les heures ou semaines qui ont précédé ».
Le principal concerné poursuit en affirmant : « Doit-on établir un rapport entre le vaccin et les infarctus ? ». Très en colère, l’acolyte d’Adriana Karembeu s’est ensuite indigné : « Les anti-vaccins sont actuellement aux anges, ils n’ont même pas besoin de s’exprimer, tout se fait sans eux ». Reste à savoir si Emmanuel Macron compte changer d’avis à la suite de son initiative…