Mauvaise nouvelle pour le chanteur Francis Lalanne ! À la suite de son passage quelque peu agité sur le plateau de C8, l’artiste essuie une lourde condamnation. Il va devoir passer les prochaines années derrière les murs de la prison. On vous partage tous les détails.
La sentence est tombée pour Francis Lalanne ! Accusé d’atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation », le chanteur 62 ans risque une peine de 5 ans d’emprisonnement. À en croire une récente publication parue dans le magazine « Le Point ». Les choses ont en effet tourné mal pour l’interprète de « Reste avec moi » à la suite de son passage dans Touche pas à mon poste. Décryptage.
Un chanteur qui ne recule devant rien
Au mois de janvier dernier, Francis Lalanne avait fait parler de lui en demandant une publication spéciale sur le site de France-Soir. Dans cette tribune intitulée « J’appelle », le père de Selena et Néo Khan exprime son souhait de voir Emmanuel Macron se faire destituer. Et pour parvenir à ses fins, le père de famille a même fait une requête de saisine.
Il accuse notamment le pouvoir étatique d’avoir raconté des mensonges concernant la gestion de la crise actuelle qui sévit sur le pays. Une situation d’urgence qui a commencé à l’apparition de l’épidémie de Coronavirus l’année dernière. À l’occasion de son passage sur le plateau de Cyril Hanouna, il a profané plusieurs menaces à maintes reprises. Les débats avec Jimmy Mohamed ont également pris une très mauvaise tournure lors de sa venue sur C8.
Francis Lalanne risque 5 ans de prison
À l’heure actuelle, selon la publication du « Point », l’affaire a pris un tournant sérieux. En effet, Francis Lalanne fait l’objet d’une enquête pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ». Le frère de Jean-Félix et René risque d’écouler les 5 prochaines années derrière les barreaux. Toujours selon les explications du magazine. Dans sa tribune qui a créé la polémique, le principal intéressé a souligné, rappelons-le : « J’appelle les plus hauts dignitaires de l’armée française à venir en aide à la population (…). La criminalisation permanente par les autorités et les médias est constitutive de tyrannie ».