Alors que l’état de Françoise Hardy semble s’aggraver de plus en plus, les rumeurs ont couru depuis quelques jours sur sa mort. Des allégations démenties fermement par son fils Thomas Dutronc.
Thomas Dutronc s’est emparé de son compte Facebook pour nier les rumeurs concernant la mort de sa mère. À 77 ans, Françoise Hardy est certes malade, mais elle est belle et bien encore en vie. Agacé, son fils a tenu à clarifier les choses une bonne fois pour toutes !
Thomas Dutronc rétablit la vérité sur l’état de sa mère
Sur le mur Facebook de Thomas Dutronc, on peut lire : « Ma mère n’est pas morte. Je l’ai eu au téléphone à l’instant. En revanche tout n’est pas rose (…) ». Le chanteur de 48 ans enchaîne son coup de gueule en félicitant, avec ironie, les journalistes. « BRAVO à ces quelques journalistes qui ne pensent même pas à vérifier leurs sources avant de publier un article. Ça demande du courage… », s’est-il indigné.
Le 16 juin dernier, la mère de famille a donné des nouvelles de son état de santé lors d’une entrevue pour Femme Actuelle. À la suite d’un cancer du système lymphatique, puis du larynx, les médecins ont diagnostiqué une tumeur du cavum. L’artiste suit ainsi un traitement depuis maintenant 3 ans. Et les effets secondaires commencent à la rendre vulnérable. Comme le souligne la principale intéressée : « Les radios et immunothérapies ont eu des effets secondaires cauchemardesques. Ça m’affaiblit de plus en plus ».
Une euthanasie difficile
Au cours de cette même interview, Françoise Hardy s’est plainte de ne pas pouvoir « avaler grand-chose ». L’interprète de « Tous les garçons et les filles » indique également que les séances de thérapie lui font énormément souffrir. Elle est par exemple « devenue sourde » d’une oreille. À cause de toutes ces atrocités, la chanteuse de 77 ans envisage sérieusement le recours à l’euthanasie, même si sa mort pourrait être insupportable pour ses proches.
Comme le précise l’ex-compagne de Jacques Dutronc : « J’ai peur de l’immense tristesse de la forme de séparation avec les êtres qu’on aime le plus au monde qu’est la mort ». Malheureusement, compte tenu de sa popularité, aucun médecin ne veut mettre fin à ses jours. « Personne ne voudra courir encore plus le risque d’être radié de l’ordre des médecins », a-t-elle conclu.