Face à l’ampleur des rumeurs stipulant que Françoise Hardy est décédée, son fils, Thomas Dutronc a décidé de mettre les choses au clair ! On vous dit tout !
Le weekend a été marqué par le violent coup de gueule de Thomas Dutronc sur les réseaux sociaux. Pour le jeune homme, l’heure est venue de remettre les pendules à l’heure ! Las des rumeurs qui circulent sur l’état de santé de sa mère, il a décidé de hausser le ton. Zoom sur la sévère mise au point du chanteur de 48 ans.
Des effets secondaires cauchemardesques
Françoise Hardy a été diagnostiquée d’un lymphome en 2014. Depuis, l’auteure-compositrice vit des moments compliqués dans sa vie personnelle. À 77 ans, elle apparaît épuisée suite aux nombreuses séances de thérapie contre la maladie. En effet, l’artiste est privée de salive et n’entend pas des deux oreilles. Son corps, plus affaibli que jamais, lui a même privé de vivre sa passion pour le chant. Pour passer le temps, l’interprète de Message personnel a décidé d’user de la plume pour partager son combat et son parcours de chanteuse.
La mère de famille a récemment confié que les traitements ont engendré « des effets secondaires cauchemardesques ». Dans son témoignage, la chanteuse souligne qu’elle devient de plus en plus faible. « Je souffre de l’absence de salive, de l’insuffisance d’irrigation de toute la zone ORL, de difficultés respiratoires (…). À tout cela s’ajoute un dérèglement thyroïdien (…) Mon oreille quant à elle est devenue sourde », explique-t-elle.
Thomas Dutronc donne des nouvelles de sa mère
À la suite de ces aveux concernant la maladie dont elle souffre, les médias ont déformé les informations concernant Françoise Hardy. De quoi énerver son fils Thomas Dutronc. Samedi dernier, ce dernier a décidé de hausser le ton sur Instagram. « Ma maman n’est pas décédée ! Je viens d’échanger avec elle au téléphone. Cependant, tout n’est pas rose. La porte de son congélateur n’a pas été correctement fermée. Un sachet de légumes surgelés serait à l’origine de cette tragédie. », souligne l’interprète de Maintenant. Et le chanteur de conclure : « Bravo à ces journalistes qui réalisent un travail remarquable sans jamais vérifier leurs sources (…) » sur une note d’ironie. Voilà qui est dit !