Jean-Luc Reichmann s’est permis de faire une petite plaisanterie au sujet de Xavier Dupont de Ligonnès. Hélas, l’animateur des 12 Coups de midi s’est attiré les foudres des internautes à la suite de cette blague. On fait le point pour vous !
Le présentateur préféré du public des « 12 Coups de midi » a une nouvelle fois déclenché la colère sur les réseaux sociaux. Cette fois, ce n’est pas sur le plateau de TF1 qu’il a décidé de faire une plaisanterie, mais sur son compte Instagram. Malheureusement pour lui, la blague sur Xavier Dupont de Ligonnès n’est pas du tout du goût de ses fidèles abonnés. Et pour cause…
« Du respect pour les victimes de cet homme »
Le weekend dernier, Jean-Luc Reichmann a posté un cliché qui a vite créé le bad buzz sur son compte Instagram. Dans la publication, on pouvait voir l’individu le plus recherché de l’Hexagone, après le meurtre de sa famille, Xavier Dupont de Ligonnès. Dans ses mains, il portait l’un des casques du fameux groupe qui interprète « Get lucky ». En description, l’interprète de Léo Mattéi a écrit : « Xavier Dupont de Ligonnès quitte Daft Punk ».
Une plaisanterie s’adressant au célèbre duo de DJ français, qui vient d’annoncer leur séparation après une vingtaine d’années de collaboration fructueuse. Cette blague à l’humour un peu déplacé n’a pas vraiment fait l’unanimité sur les réseaux sociaux. En guise de commentaires, on a ainsi pu lire : « Mais ça ne va pas bien là… » ou encore « Du respect pour les victimes de cet homme ».
Un post qui a vite été retiré par l’animateur
D’autre part, il y a ceux qui ont pris la défense de l’animateur en réagissant avec des smileys « MDR ». À la suite de ces vives réactions, le père de six enfants s’est empressé de supprimer sa publication pour ne pas offenser davantage ses milliers de followers.
Cette polémique est assez insolite puisque c’est rare de voir les internautes se dresser contre Jean-Luc Reichmann à la suite d’une blague. Quoi qu’il en soit, on se rappelle qu’au mois d’octobre dernier, certains inconditionnels de l’émission de midi ont accusé la production de « raciste ». Et ce, en raison d’une question relative aux Réunionnais. Le CSA avait par la suite été saisi pour cause de « banalisation du racisme ».