Manuela Lopez s’est récemment confiée au sujet de son état de santé et la plus grosse crainte liée à sa maladie. La rédaction de PHPA fait le point pour vous !
Victime du syndrome de tako-tsubo, Manuela Lopez, l’héroïne de Jean-Luc Azoulay dans Les Mystères de l’amour, s’est livrée au sujet de ses craintes et de sa maladie lors d’une entrevue pour Gala. On vous dit tout !
Une femme battante
Gros coup dur pour Manuela Lopez ! Depuis 2007, l’actrice des Mystères de l’amour souffre d’une grave maladie : une cardiopathie génétique. Le diagnostic a été annoncé à la suite d’une attaque cardiaque survenue en plein tournage. Il y a quatre ans, les médecins découvrent qu’elle est atteinte du syndrome de tako-tsubo, que l’on connaît également sous l’appellation « syndrome des cœurs brisés ». Une maladie qui se produit généralement à la suite d’un stress émotionnel.
Depuis le début de l’année, l’actrice de 48 ans a été hospitalisée à trois reprises. Des épreuves difficiles qu’elle a tenu à partager dans son ouvrage intitulé « Tako-Tsubo, tu as brisé mon cœur », sorti le 3 juin dernier aux éditions Michel Lafon. En dépit de ce handicap, la principale concernée continue à rester optimiste. Comme elle le souligne : « Je suis quelqu’un de positif. Je suis déterminé à m’en sortir quoiqu’il arrive. Mais je sais que tout peut arriver… » dans les colonnes de Gala.
« J’ai peur de ne pas pouvoir emmener mon fils jusqu’au bout »
Manuela Lopez enchaîne en évoquant ses angoisses les plus profondes. À ce propos, la comédienne confie : « J’ai peur de perdre ce que j’ai, de ne pas être en mesure d’emmener mon fils jusqu’au bout ». Pour rappel, son fils, Paolo vit à ses côtés, dans leur maison située près de Deauville. C’est d’ailleurs le jeune adolescent de 16 ans qui lui donne la force et le courage de lutter au jour le jour.
Comme l’explique la mère de famille : « Lorsque vous avez un mini vous, avec la même personnalité, ça donne de la force. On discute beaucoup. Je lui dis tout », confesse l’actrice d’Hélène et les garçons. Elle puise également sa détermination dans la complicité qu’elle partage avec les animaux. « C’est mon équilibre, mon oxygène (…). Ce sont les seuls en qui je peux avoir réellement confiance », conclut-elle.