Les rumeurs sur l’implosion du couple Meghan Markle et le prince Harry continuent à prendre de l’ampleur. Doria Ragland, très attachée à sa fille se retrouve dans l’obligation d’intervenir avant que les choses ne soient trop tard. Phpa vous raconte tout…
Malgré l’apparence du couple parfait affiché par Meghan Markle et le prince Harry à chacune de leur apparition publique, la réalité, selon certaines sources, cache un problème très difficile à résoudre. Si rien cela ne change pas, l’avenir de leur mariage est fortement menacé.
De nombreux observateurs ne voient pas d’ailleurs leur amour, malgré leurs deux enfants (Archie et Lilibet), tenir sur le long terme. Une situation qui n’échappe pas à la vigilance de Doria Ragland, la maman de l’ancienne star de Hollywood.
Harry obligé de consulté un psychologue des « âmes tourmentées »
Très soucieuse du bonheur de sa fille, comme toutes les mamans du monde , Doria Ragland n’a pas croisé les bras.
En effet, la professeure de Yoga a fait le point d’honneur de sauver ce qui reste encore de l’amour. Elle a donc proposé au second fils du prince héritier Charles de s’attaquer directement à la racine du mal qui le tourmente autant. Un mal-être qui le déstabilise émotionnellement. C’est précisément à cause de ce sentiment de fuite constant qui pourrait conduire le beau-frère et la belle-sœur de Kate Middleton vers le divorce.
Pour Doria Ragland, il n’y a qu’une seule solution: guérir son âme. Pour cela, elle aurait donc fait appel à gourou hollywoodien appelé Michael Beckwith. Agé aujourd’hui de 65 ans, ce dernier aurait l’habitude de traiter avec les grands noms du cinéma américain comme Jennifer Aniston. Dans le jargon moderne, cet homme est considéré comme une espèce de psychologue des « âmes tourmentées ».
« Doria a eu la pénible impression que son gendre était au fond du seau« .
« En tant que maman très impliquée et bienveillante, Doria a eu la pénible impression que son gendre était au fond du seau et qu’il avait sérieusement besoin d’aide », racontait un proche du couple, sous couvert de l’anonymat. La personne ne souhaitait surtout pas causer des torts à quiconque. Une affaire suivie de près par la rédaction de Phpa.