Michel Drucker s’est une nouvelle fois laissé aller à la confidence au sujet de son hospitalisation. Une expérience éprouvante dont il garde des souvenirs traumatisants. On fait le point pour vous !
Mercredi dernier, Michel Drucker s’est livré à cœur ouvert au sujet de son opération lors d’une entrevue pour Paris Match. Le monstre du PAF est revenu sur l’expérience éprouvante qu’il a dû affronter avec sa compagne Dany Saval avant l’intervention.
« J’avais peur de mourir… »
En dépit de son retour dans Vivement dimanche au mois de mars dernier, Michel Druker conserve des souvenirs amers de son opération du cœur. Cette semaine, le présentateur de 78 ans a fait de nouvelles confidences à l’occasion de son interview avec l’équipe de Paris Match. Pour rappel, le compagnon de Dany Saval a subi un triple pontage coronarien. Une intervention cardiaque difficile qui lui a beaucoup fait peur. Il avoue même avoir versé quelques larmes avant l’opération en voyant sa bien-aimée.
Comme il le raconte : « Je n’avais pas pleuré de cette manière depuis plusieurs années… J’avais peur de mourir ». À la suite de l’opération, le journaliste a vécu une longue période de convalescence marquée par de multiples séances de rééducation. À ce propos, l’animateur vedette de France Télévisions révèle qu’il s’est senti comme « un pantin dénué d’énergie qu’on déshabille, qu’on lave, qu’on fait uriner (…) à petits pas ».
« J’avais peur qu’elles me trouvent chiant, mais non, jamais. »
Michel Drucker poursuit son récit en précisant : « Une gêne insupportable au début, une humiliation traumatisante. Tout m’angoissait, je n’arrêtais pas d’appeler les infirmières. J’avais peur qu’elles me trouvent chiant, mais non, jamais. Ces membres du corps médical français sont parmi les meilleurs au monde », a-t-il souligné dans les colonnes du magazine.
À l’occasion de son comeback sur France 2, il est revenu sur son hospitalisation. Devant son convive Jean-Michel Cohen, il a indiqué : « Ce qui est fascinant c’est que j’ai perdu onze kilos. Onze kilos c’est beaucoup lorsqu’on en pèse soixante-douze ». Et le fils de Lola Schafler de conclure : « Lorsque je me suis vu pour la première fois, j’étais choqué de voir à quel point j’étais maigre. Je me suis fait peur ».