Nikos Aliagas a confié une anecdote bouleversante sur la manière dont sa mère est intervenue à l’époque où il était animateur de Star Academy. Ce dernier était en effet à deux doigts d’abandonner. Et pour cause…
Vendredi dernier, Nikos Aliagas était présent sur le plateau d’Anne Roumanoff dans « Ça fait du bien », au micro d’Europe 1. L’animateur de The Voice a profité de cet entretien pour raconter une anecdote au sujet de son passé. Il est notamment revenu sur l’intervention de sa mère pour l’encourager à l’époque où la première édition de Star Ac a créé le bad buzz. On vous dit tout !
Nikos Aliagas se lâche devant Anne Roumanoff
La vie n’a pas toujours été tendre avec Nikos Aliagas ! Sur le plan professionnel, le collègue de Karine Ferri a débuté chez Euronews en 1993 et 1999. Très vite, il s’est fait remarquer par TF1 ! La chaîne privée lui propose de présenter un télé-crochet inédit intitulé « La Star Academy ». De 2001 à 2008, le compagnon de Tina accompagne Jenifer, Nolwenn Leroy et Grégory Lemarchal le long de l’aventure.
Mais le succès a tardé à arriver. Comme l’explique le présentateur vendredi dernier face à Anne Roumanoff : « J’avais beaucoup de doutes lorsque je suis arrivé à TF1. J’avais déjà dix, quinze ans de métier en tant que journaliste. Lorsque je suis arrivé, ça n’a pas marché ». L’invité du jour enchaîne en affirmant que l’émission avait fait l’objet de nombreuses critiques. Ce qui avait tendance à le décourager. « Aujourd’hui, tu ne pourrais plus t’en prendre à quelqu’un à travers les médias comme je l’ai été à l’époque », souligne-t-il.
L’animateur se fait sévèrement réprimander par sa mère
Face à l’ampleur de la polémique, Nikos Aliagas a décidé de rentrer chez ses parents. C’est là que sa mère tente de le secouer. Comme le confie le présentateur : « Elle s’en foutait que ça fonctionne ou pas. Tout ce qui l’importait c’est que je sois heureux », commence-t-il par avouer, en imitant l’accent de sa matriarche. Le principal intéressé enchaîne en soulignant : « elle me dit : “Oui, oui, bien sûr, reste sur le canapé”. Le matin, elle me réveille et m’invite à boire du café (…) ».
La mère de famille explique alors à son fils : « Écoute mon garçon, ton grand-père il a combattu le nazisme et le fascisme (…). Il n’a jamais versé une seule larme, il ne s’est jamais plaint. Et toi, tu as un job de rêve. Mais tu te prends pour qui ? Tu finis ce que tu as commencé et cesse de te plaindre ! ». Et le journaliste de 52 ans de conclure : « C’est ça chez moi, il n’y a pas de baratin ! ».