Stéphane Tapie a tenu à faire une grosse annonce cette semaine sur la Toile. Le producteur va en effet s’écarter de l’émission « Touche pas à mon poste » sur C8. Et pour cause…
Lundi dernier, Stéphane Tapie a fait part d’une annonce surprenante sur les réseaux sociaux. Le fils de Bernard Tapie s’est en effet expliqué sur les raisons pour lesquelles il a décidé de prendre ses distances de TPMP. On vous dit tout !
La bande toujours au rendez-vous
Tous les soirs, les chroniqueurs de Cyril Hanouna débattent sur les sujets brûlants de l’actualité dans Touche pas à mon poste. Certains d’entre eux ont rejoint l’émission il y a plusieurs décennies comme Gilles Verdez, Isabelle Morini-Bosc ou encore Valérie Bénaïm. D’autres en revanche viennent de temps à autre. C’est notamment le cas de Kelly Vedovelli, Nicolas Pernikoff ou encore Stéphane Tapie.
Le fils du célèbre homme d’affaires Bernard Tapie, plus particulièrement, est régulièrement convié sur le plateau. Il est notamment connu des téléspectateurs de C8 pour son franc-parler. On se rappelle par exemple de la fois où il avait donné son avis bien tranché sur le happening de Corinne Masiero. À l’époque, le frère de Laurent, Sophie et Nathalie avait affirmé : « Merde, j’aime le septième art. Hors de question pour moi de voir cette espèce de laideron avec ses tampons ».
Bernard Tapie suspecté d’arbitrage controversé
Mais sur les réseaux sociaux, Stéphane Tapie a été très clair sur les raisons qui le poussent à s’écarter temporairement de TPMP. « Durant le procès en appel de mon papa, je ne pourrais pas participer à TPMP. Je vais également devoir arrêter mes lives insta. Merci pour votre compréhension et vos soutiens », a-t-il écrit sur son mur. Une déclaration que les fans ont bien évidemment comprise puisqu’ils ont été nombreux à lui faire part de leur soutien.
Pour rappel, Bernard Tapie a de nouveau comparu devant la justice ce lundi 10 mai suite à l’affaire Adidas-Crédit Lyonnais. Le mari de Dominique est accusé d’escroquerie dans ce litige qui lui avait attribué plusieurs millions d’euros en 2008. L’ancienne icône emblématique de l’Olympique de Marseille et ses co-prévenus ont eu droit à une relaxation en 2019, avant que la justice ne fasse appel.